COVID-19 – Partie I

Au cours du dernier mois, j’ai reçu d’innombrables e-mails demandant ce qu’est la pandémie COVID-19. J’ai donc pensé que cela pourrait constituer l’objet d’un blog afin d’expliquer le point de vue de la GNM sur ce sujet et ainsi répondre à tous ceux qui m’ont posé des questions.

Fortuitement, un ami m’a envoyé des liens sur ce qui se passait dans la ville de Wuhan début Février. Wuhan compte une population de plus de 11 millions d’habitants, et l’information transmise m’a aidé à comprendre le climat politique dans cette région qui aurait pu être responsable d’une « peur de l’agression » qui a affecté des milliers de personnes simultanément et qui s’est résolue à peu près au même moment.

Pour ceux d’entre vous qui ont récemment pris connaissance du travail du Dr Hamer et qui savent que certaines réactions se produisent dans la phase de guérison d’un conflit, ce qui s’est passé à Wuhan en est une manifestation.

Le conflit

Essentiellement, lorsqu’une personne a peur d’une agression à l’égard d’elle-même ou de ses proches, elle se trouve dans une situation de « haute alerte » prêtes au combat ou à la fuite. Chez les hommes, nous appelons cela un conflit de « peur territoriale » lié à une agression de l’extérieur, et chez les femmes, cela a plus en relation avec leur « nid » que nous considérons comme le territoire intérieur. Le Dr Hamer décrit cette réaction dans le domaine masculin comme une réponse de protection de son environnement contre les forces extérieures alors que la réaction féminine est caractérisée de la protection du nid.

C’est au cours de cette situation de combat ou de fuite que spécifiquement la muqueuse bronchique commence à s’ulcérer. Biologiquement, c’est important car ce processus permet à l’oxygène d’entrer dans les poumons en plus grande quantité grâce à cet élargissement ulcératif du tissu et ainsi faciliter la réaction nécessaire au combat ou à la fuite.

Que se passe-t-il physiquement?
Cette «peur de l’agression» peut durer des semaines voire des mois et, dans certains cas, des années, donc, lorsque la résolution du conflit se présente, le tissu bronchique ulcéré commence à se réparer, créant une inflammation dans les bronches accompagnés symptômes pseudo-grippaux.

Dans la plupart des cas, nous observons une fièvre, mais dans ce cas, la fièvre ne provient pas d’une activité microbienne, c’est parce que les bronches sont «câblées» au cortex sensoriel du cerveau où réside le mécanisme de contrôle des fièvres qui accompagnent généralement les processus de guérison.

Parallèlement à la fièvre, il y a la fatigue qui fait également partie de la phase de guérison de la plupart des maladies. Ensuite, bien sûr, nous avons des courbatures et des douleurs musculaires que la GNM attribue la nécessite de se battre ou de fuir, « nous devons sortir d’ici pour nous sauver », ce qu’ils n’ont pas pu faire au moment du choc créé par le conflit.

En d’autres termes, les douleurs musculaires résultent d’un sentiment de « dévalorisation de soi » associé au choc du conflit en question. Ensuite, bien sûr, la toux commence, ce qui signifie que la phase complète de guérison / réparation est en cours dans les bronches.

La première semaine est généralement la pire, mais en fonction de ce qui se passe chez l’individu, elle peut s’étendre jusqu’à la deuxième semaine moment où la fièvre et les douleurs musculaires s’effacent.

Pneumonie
La majorité de ces phases de cicatrisation respiratoire durent normalement 3 à 4 semaines maximum avant la disparition des symptômes. Cependant, si nous avons un autre conflit actif affectant les tubules de collecte rénale correspondant à un mécanisme de survie impliquant une rétention d’eau, les poumons commencent à se remplir de liquide dans la phase de guérison du conflit ci-dessus ou les bronches qui transportent l’oxygène dans les poumon
s. C’est ce qui constitue la pneumonie.
Les tubules collecteurs de rein conserveront le liquide corporel en réaction à une «menace pour l’existence». Cette réaction est un mécanisme de survie car nous avons besoin d’eau pour survivre. Nous pouvons nous passer de nourriture pendant quelques semaines, mais sans eau, nous nous déshydratons très rapidement. Dans une situation comme celle-ci, notre corps tout faire pour conserver ce qui existe déjà en matière de liquides.

Dans la GNM, les tubules collecteurs de rein réagissent aux conflits d’abandon/d’isolement, de réfugié/d’existence. Il est donc toujours important de comprendre le conflit rénal pour empêcher ce facteur de complication qui entraine une phase de guérison plus difficile.

Ce conflit peut être préexistant ou il peut être déclenché par le diagnostic annonçant toute maladie «potentiellement mortelle» qui, dans ce cas, est bien évidemment la possibilité d’avoir attrapé le virus corona.

Un signe que les tubules collecteurs de rein sont en «mode de survie» est la bouche sèche et une forte soif et la nécessité de boire autant que possible.

Le problème avec cela est que lorsque nous sommes dans une phase de guérison, l’excès de liquide ira exactement vers la partie du corps qui subit la guérison. Dans une phase de guérison respiratoire, les poumons se remplissent donc de liquide amplifiant lapneumonie

Je me rends compte que ce que je décris peut paraitre complexe, mais c’est en fait assez simple. Le fait demeure que toute inflammation respiratoire qui est compromise par l’activité conflictuelle des tubules collecteurs de rein va présenter toute les caractéristiques d’une pneumonie.

Cependant, en médecine traditionnelle, lorsqu’apparat soudainement le même symptôme chez aussi peu que 10 personnes dans une communauté lambda, on aura tendance à appeler cela une épidémie et l’on accusera un virus que cette même médecine traditionnelle a été amenée à croire qu’il est à l’origine dans le cas présent de ces manifestations respiratoires.

Lorsque ces symptômes apparaissent chez des centaines ou des milliers de personnes dans un seul pays ou dans le monde, elle est appelée pandémie.

Comment diagnostique-t-on un virus?
Avant d’en arriver là, je me dois d’expliquer que les virus n’ont jamais été vus au microscope électronique ni isolés voire encore moins photographiés.

Étant donné que ce «système de croyances» est très difficile à briser et qu’il n’est jamais remis en question par quiconque étudie la médecine, qu’elle soit traditionnelle ou alternative, je dois me référer au travail du Dr Stefan Lanka, un virologue et biologiste allemand qui a effectivement découvert le premier et seul virus qui a été visualisé avec succès au microscope. Cependant, le virus en question a été trouvé dans une algue et non chez un humain ou un animal. Plus important encore, il a découvert que les algues et le virus avaient une relation «saine» et qu’il n’y avait pas de réactions destructrices ou toxiques entre les deux entités.

Le Dr Lanka a également remporté un argument révolutionnaire devant la Cour Fédérale d’Allemagne il y a 4 ans, où le juge a déclaré, après avoir vu toutes les preuves scientifiques existantes fournies par le Dr Lanka, que l’existence du virus de la rougeole n’avait jamais été prouvé.

En tant que scientifique, le Dr Lanka était si sûr du fait que le virus de la rougeole n’existait pas qu’il a offert 100 000 euros à quiconque prouverait le contraire. Par la suite, il a été traduit en justice par un étudiant en médecine affirmant que le Dr Lanka n’avait aucune preuve de ce qu’il avançait et de fait lui devait 100 000 euros. Bien sûr, l’affaire a été portée devant les tribunaux supportés par une commission de spécialistes et finalement le Dr Lanka a gagné.

Cela nous pose la question de savoir à quoi ces images que l’on nous montre se réfèrent. S’agit-il ou pas de virus. La majorité des images dans les livres médicaux et sur Internet sont générées par ordinateur, ceci est particulièrement vrai si elles sont colorées. Cependant, de nos jours, la technologie permet un rendu des couleurs à partir d’une photographie prise au microscope électronique. Néanmoins, ce qui est représenté n’est pas un virus, qu’il soit en couleur ou en noir et blanc.

Ces images sont très convaincantes, surtout si elles sont étiquetées comme hépatite, polio, rougeole, SIDA, etc. Mais à y regarder de plus près, il n’a jamais été déclaré que ces images représentent effectivement des virus. Toutefois, elles sont étiquetées comme telles pour nous conduire à penser qu’ils sont responsables d’une condition médicale supposée être le résultat d’un virus.

En réalité, que voit-on au microscope électronique?
Puisqu’un virus n’a jamais été visualisé au microscope électronique, une méthodologie a dû être mise au point afin d ‘«extraire» des substances supposées résulter d’une activité virale.

Prenons l’exemple de la poliomyélite qui aurait été le premier virus identifié puis photographié au microscope électronique. Ce qui nous est montre sont en fait des « particules artificielles » obtenues grâce à un processus complexe d’aspiration d’une masse indifférente au travers d’un filtre très fin sous vide pour être ensuite photographié. Ce n’est pas quelque chose que l’on voit au naturel dans le sang ou dans un échantillon de tissu !

Cette forme de recherche est très biaisée et pourtant elle est acceptée et publiée dans la communauté scientifique. La question est de savoir pourquoi? Il y-a-t-il un agenda?